Conséquences de violences conjugales

Cette information canalisée a été transmise pour le cas précis d’une jeune femme ayant constaté un déséquilibre entre les femmes et les hommes de sa lignée, s’inquiétant pour ses deux petits garçons.
Chaque cas, chaque pathologie est unique, propre à chaque personne qui en est atteinte. Ces informations ne sauraient être généralisées à toutes les situations ou autres cas rencontrés

{Les guillemets {} sont ajoutés par moi pour clarifier certaines expressions moins compréhensibles hors contexte}

Dans la lignée maternelle de la consultante, les femmes sont castratrices/dominatrices, les hommes ont un problème de croissance car les glandes surrénales ne sécrètent plus le cortisol*. Dans notre cas ici, le manque de cette hormone provoque des symptômes de déshydratation, de vomissements, de diarrhées, pouvant conduire jusqu’à la mort, et nécessite donc une prise de médicaments pour y suppléer. Au fil des générations, on constate d’ailleurs que peu d’hommes naissent dans cette lignée de femmes, comme si un processus émotionnel avait impacté et programmé la matière des corps physiques.

Que s’est-il passé dans cette lignée pour que les femmes soient castratrices et que les hommes aient des problèmes de croissance ?

 

Voilà une situation fort appropriée pour aller soulever le tapis de tant de poussière stockée dessous, mise sous le tapis, dont on ne parle pas, qu’on laisse agir, faire de la sorte, sans s’en préoccuper, sans se poser de questions sur ce grand déséquilibre entre femme et homme. Pourquoi l’une prend le dessus sur l’autre ? Pourquoi l’autre se trouve rapetissé par rapport à l’une ? Pourquoi l’équilibre n’est pas possible ? Pourquoi de nombreuses situations se présentent où chacun cherche sa place, essaie de la trouver, se trouve entravé, bousculé, désorienté, désappointé, violenté verbalement ou autre ? … ne trouve pas d’attache possible l’un à l’autre {je vois comme deux bateaux qui essaient de s’amarrer ensemble/dans le couple, et ce n’est pas possible, en fait}, où rien n’est possible en commun de vraiment centré, de vraiment équilibré dans un couple, où tout va à vau l’eau, où rien ne peut se créer de concret par peur d’être soumis à l’autre {le soin commence}, de se trouver devant une situation de claque… de choc frontal {ma tête part à gauche comme si j’avais reçu un coup au visage ; je suis/représente la femme dans ce cas précis ; mais l’exemple vaut aussi pour un homme}, d’humiliation, de violence conjugale intense, physique, rude, bousculante, choquante, de faiblesse intérieure {pour la femme} à ne pas savoir que faire, comment réagir, comment se protéger, comment sauver sa peau, comment survivre, se protéger, être hors d’atteinte des coups… prendre de la distance pour ne plus être visible, s’éloigner, mettre de la distance pour ne plus jamais revivre cela, pour ne plus être atteinte, tapée, violentée, mise plus bas que terre. C’est insoutenable, insupportable, violent…

MÉCANISME MIS EN PLACE INCONSCIEMMENT

Je comprends que je dois m’éloigner de la gent masculine pour ne plus être impactée, touchée, frôlée, même si les intentions sont sincères, aimantes. Je me méfie, je me calfeutre dans mon intérieur, pour ne pas souffrir, pour anticiper la souffrance, pour ne pas avoir à me dévoiler pour peu qu’il s’en serve pour me contrôler, pour me happer, pour me dénaturer… Je reste donc sur mes gardes, ne me dévoile pas, garde tout pour moi.

Mais voilà, je sens bien que cela crée un mur, une barrière infranchissable par l’autre. Je sens que c’est moi qui mets cette distance, que je l’ai créée, auto-générée par peur intérieure, par obnubilation, parfois d’on ne sait où, mais je le ressens en moi que j’ai des choses à craindre, qu’il peut m’arriver des choses, que je ne suis pas en sécurité, donc je reste sur mes gardes, je suis vigilante, je ne me lâche pas, je me restreins.

Je ne suis pas moi, au final, puisque toujours sur le qui-vive. Je ne peux pas me lâcher, m’apaiser intérieurement, me laisser faire, agir à ma guise, non je ne le peux pas. Je me suis auto-emprisonnée, auto-menotée, pour rester dans ma sécurité intérieure et ne pas en sortir, car je crains l’extérieur.

PROCESSUS DE COMPRÉHENSION et NETTOYAGE

Voilà que je m’en rends compte, que je commence à enlever mes chaînes, mes menottes, mes entraves. Je tente d’avancer vers celui qui me tend les bras, aimant, tendrement. J’avance avec prudence, on ne sait jamais… Je me déleste de mes fardeaux, de mes poids dans le dos pour pouvoir avancer plus légèrement… J’avance doucement vers celui qui m’accueille, qui me tend ses bras, dans lesquels j’aimerais me lover, y trouver de la sécurité, de la tendresse, du bien-être, un nid douillet en quelque sorte.

Voilà que cela est possible… je le sens, j’y arrive, je me dépose là, dans ce creux. Je me laisse aller pour la toute première fois à apprécier cet endroit, à m’y sentir bien, à vouloir y rester, l’expérimenter encore et encore car je m’y sens bien !

Je reconnais que cela est possible. Je vois que cela est possible. Et je m’emploie à croire maintenant que je vais y arriver, que cela est possible et réalisable. Je lâche les derniers lests qui n’ont plus lieu d’être… Je suis rassurée, je PEUX le faire, j’y suis aidée et je peux y arriver.

DÉBUT DU CHANGEMENT/RENOUVEAU

Je m’apprête à reprendre mon chemin. Je me sens libre, légère de toute entrave. Je n’ai plus besoin de rester sur mes gardes, de regarder à droit, à gauche, si quelque danger pouvait se présenter. Je sens que la voie est libre, que je peux maintenant avancer, dignement et fièrement sur ce nouveau chemin tout tracé pour moi dorénavant. Je sens que je peux le faire, que je suis en bonne voie, que je suis attendue de bien meilleure manière {par mon conjoint, par exemple}, avec de plus belles perspectives que jusqu’à présent.

Je sens le changement en cours et à venir. Je dépose mon ancienne peau {comme le manteau de Peau d’Âne !} et j’avance comme une chrysalide sortie de son cocon. Un magnifique papillon qui étend ses ailes, qui peut maintenant voler de ses propres ailes ! Quelle joie intérieure ! Quelle liberté intérieure immense que de pouvoir déployer ses ailes à la juste hauteur de ce qu’elles sont ! Quelle sensation nouvelle, quelle étrangeté en même temps de n’avoir jamais pu sentir cette sensation incroyable !

Je déploie mes ailes et je ressens qu’elles ne se refermeront jamais.

Une fois qu’on y a goûté on ne peut plus s’en passer !

 

∞ Patricia Braun, Révélatrice de Talents ∞
Channeling et soin du 06/06/2025

 

* Le cortisol : cette hormone est appelée « hormone du stress » car elle est libérée par les glandes surrénales en cas de situation perçue comme risquée par l’organisme. Elle régule le métabolisme, la température dans le corps, la réponse inflammatoire, la fonction immunitaire, l’humeur, la pression artérielle, la quantité de sucre dans le sang…

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Les informations ci-dessus sont de nature interrogative, permettant à chacun une nouvelle compréhension des mondes subtils, un nouvel abord du fonctionnement de l’univers, de sa propre santé, de la compréhension des transmissions trans-générationnelles…

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